Plus de cinquante ans après la manifestation des Algériens de Paris, l’État Français, par la voix de son Président de la République, François Hollande (voir communiqué ci-dessous), a enfin reconnu que des manifestants, partisans de l’indépendance de l’Algérie, avaient été tués au cours d’une violente répression, dirigée par le préfet Maurice Papon. Je salue cette reconnaissance.
« Le 17 octobre 1961, des Algériens qui manifestaient pour le droit à l’indépendance ont été tués lors d’une sanglante répression.
La République reconnaît avec lucidité ces faits.
Cinquante et un ans après cette tragédie, je rends hommage à la mémoire des victimes. »