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Parce qu’il n’y a pas de prostitution heureuse, la loi doit continuer de la combattre

La loi du 13 avril 2016 visant à renforcer la lutte contre le système prostitutionnel et à accompagner les personnes prostituées fait régulièrement l’objet d’attaques de la part de ses détracteurs.

Ainsi, en septembre dernier, plusieurs associations ont déposées une question prioritaire de constitutionnalité au nom du droit à la santé et à la sécurité des personnes prostituées. Revendiquant notamment la liberté d’entreprendre ou le droit au respect de la vie privée, les anti-abolitionnistes tentent de faire censurer le volet répressif de la loi par le Conseil constitutionnel.

La prostitution demeure l’expression de multiples dominations : masculine, de classe et raciste et lutter contre la prostitution est synonyme de lutte contre les violences faites aux femmes, contre la traite des êtres humains, contre les réseaux mafieux et relève du respect des droits humains.

C’est pourquoi mes collègues et moi-même avons décidé de publier une tribune que vous pouvez retrouver ici.

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