Le 22 janvier prochain, la décision relative à la question prioritaire de constitutionnalité (QPC) relative à la loi du 13 avril 2016 doit être rendue.
La QPC, initiée par plusieurs associations au nom du droit à la santé et à la sécurité des personnes, revendique notamment la liberté d’entreprendre ou encore le droit au respect de la vie privée.
La position abolitionniste de la France en matière de prostitution doit être réaffirmée avec vigueur. Cette QPC en est l’occasion. C’est pourquoi, de nombreux politiques et moi-même avons signés cette tribune : pour réaffirmer notre engagement pour permettre la mise en œuvre d’une loi historique, humaniste, qui correspond à un vrai choix de société.