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Comités pour l’emploi

Des contributions en réponse à mon message sur la réunion du CCEPF de Munich de janvier 2007 me sont parvenues d’Europe, des Etats-Unis, des Emirats et du Maroc. Ce n’est pas suffisant pour avoir une vue d’ensemble mais des tendances se dégagent des observations de nos collègues.

Les demandeurs d’emploi sont en majorité des femmes, ils sont plutôt qualifiés ou très qualifiés. En Europe les demandeurs sont plus jeunes que dans les autres pays. En Europe également, on constate une demande pour placer des stagiaires. Les tendances pourraient être différentes dans d’autres parties du monde.

Les résultats semblent moins bons lorsque la Chambre de Commerce se charge de l’activité du CCEPF (sans que l’on puisse en faire une règle).

Les actions mises en place outre le placement sont des activités de conseil, la rédaction du CV , la préparation à l’entretien d’embauche, un site Internet, des Forums, salons de l’emploi, Nuit de l’emploi.

Les conseillères font, de l’avis général, du bon travail mais leur poste est continuellement remis en question sans qu’une ligne politique soit clairement identifiable. Une année l’emploi est prioritaire et l’année suivante la fermeture menace…

La Lolf permet certes plus de souplesse dans le financement des Comités mais elle donne également plus de flexibilité pour affecter la Conseillère à d’autres tâches puis qu’elle est un agent du Consulat comme les autres et n’est plus affectée à une tache spécifique.

Le rôle des Comités pour l’Emploi et la Formation professionnelle est essentiel et nous devons mettre leur maintien au premier rang de nos priorités. Leur activité doit être évaluée sur plusieurs années sur des critères clairs mais modulables en fonction de la situation économique de la région concernée.

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